Nichée dans les collines du nord de l’Oregon, s’étendant sur 52 acres de verdure, se trouve une communauté de womyn intentionnelle connue sous le nom de We’Moon Land.
La talonneuse et vice-capitaine du XV de France féminin, Agathe Sochat, Adèle et leur bébé Nina + Laure Sansus et Pauline Bourdon préparent leur mariage...
Les Ukrainiens LGBT+ sont prêts à se battre pour leur liberté si la Russie envahit ...
Ukraine LGBT-vs- Russie
Les personnes LGBT+ en Ukraine ont peur de ce qui va arriver alors que les tensions s'intensifient entre leur pays et la Russie.
L'Ukraine et la Russie sont en guerre depuis 2014, mais on craint que le conflit ne déborde après que la Russie a déployé des dizaines de milliers de soldats à sa frontière avec l'Ukraine ces derniers jours...
Depuis lors, les États-Unis ont mis en état d'alerte 8 500 de leurs propres soldats à envoyer en Ukraine si la guerre s'aggravait, et l'OTAN a annoncé qu'elle envoyait des navires et des avions de combat en Europe de l'Est en vue d'un conflit potentiel.
Une attaque russe, ou une éventuelle invasion, serait un désastre pour la communauté LGBT+ ukrainienne. homosexuels s'inquiètent de ce qui pourrait arriver si la guerre s'intensifiait et si la Russie devait finalement s'emparer de territoires ukrainiens supplémentaires. Ils craignent que les progrès en matière de droits LGBT+ ne s'arrêtent et qu'en cas d'invasion russe, ils puissent voir leurs libertés restreintes et réduites.
Beaucoup sont prêts et disposés à se battre s'ils en ont besoin - ils ressentent un sens patriotique du devoir envers leur pays - mais ils sont aussi douloureusement conscients que la lutte pour les droits des LGBT+ pourrait finir en veilleuse.
(...) Les effets du conflit sont considérables pour les personnes homosexuelles, dit Ensom. La peur et l'agressivité « s'accumulent » dans la société en temps de guerre, et les gens se tournent inévitablement vers les groupes minoritaires comme boucs émissaires. Il craint que les personnes LGBT + ne finissent par porter le poids de l'agression et que leur mouvement pour l'égalité des droits ne soit finalement retardé.
«D'une part, le mouvement ukrainien LGBT+ connaît un grand succès. Nous avons une marche de la fierté très réussie, 7 000 personnes ont marché avec nous en septembre de l'année dernière. Nous avons des marches de la fierté dans quelques autres villes d'Ukraine. Nous avons plus de 30 organisations LGBT+ travaillant dans différentes régions d'Ukraine. Mais la communauté est vraiment menacée, et ce que nous voyons maintenant, c'est que tous les membres de la communauté sont actuellement menacés, chaque jour.
(...) Edwards Reese, un autre militant des droits LGBT+ travaillant avec Kiev Pride, affirme que les Ukrainiens homosexuels sont "prêts à se battre" si la guerre s'intensifie - cependant, ils sont également préoccupés par le potentiel de discrimination.
"Il y a beaucoup de personnes LGBTQ dans l'armée en ce moment, et il y a aussi un problème que si la guerre s'intensifie, alors il y aura plus de discrimination envers les personnes LGBTQ dans l'armée, parce qu'il y a de la discrimination - nous le savons, mais s'il y a un appel massif à l'armée, il y aura plus de personnes queer dans l'armée et plus de discrimination », soulignent-ils.
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