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Élodie FONT - "À nos désirs"
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Tasse de Thé a sélectionné pour vous !
Sortie du livre d'Élodie FONT "À nos désirs", dans l'intimité des Lesbiennes"...
 
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POTINS LESBIENS
La star hollywoodienne Rebel Wilson (photo à gauche)se révèle tardivement et dit vouloir encourager les autres à travers sa révélation très privée...
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FULANITA FEST 23 - 26 Mai
ESPAGNE -Si vous avez déjà rêvé d’une ville où vivent uniquement des femmes lesbiennes et bisexuelles, -
BAGDAM ❤️de TOULOUSE
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25e Printemps lesbien de Toulouse
 du 4 au 28 avril 2024 -
Famille homoparentale : Parent biologique, parent adoptant… ?
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DROITS HOMOPARENTS
Qui est considéré comme étant le "parent légal" de l’enfant ? La reconnaissance conjointe d’un enfant par un couple de femmes...

LezPresse

 
  usa-courSupreme_1.jpg   "RIEN N'EST JAMAIS ACQUIS..."

    Des révélations explosives sur la Cour suprême des Etats-Unis, qui semble prête à renvoyer le droit à l'avortement 50 ans en arrière, ont poussé mardi le président Joe Biden à battre le rappel d'une gauche en état de choc. et qui craint la remise en cause d'autres droits comme les droits LGBT

    Se disant lui-même "très inquiet", le président a appelé les Américains à "choisir des candidats" favorables au droit à l'avortement lors des élections législatives de l'automne...
   Le site Politico a provoqué une déflagration politique lundi soir en révélant, sur la base d'une fuite inédite d'un document interne, qu'une majorité des juges de la Cour suprême étaient prêts à enterrer l'arrêt "Roe v. Wade" de 1973, qui protège le droit des Américaines à interrompre leur grossesse. La Cour suprême a confirmé l'authenticité du texte - un projet d'arrêt daté de février - tout en soulignant qu'il ne représentait pas une décision "finale", attendue avec fièvre.

   Si la Cour devait l'adopter, chacun des 50 Etats américains retrouverait le droit d'interdire l'avortement sur son sol et une moitié d'entre eux, principalement dans le Sud et le Centre conservateur et religieux, devraient emprunter cette voie. Les gouverneurs républicains du Tennessee et du Dakota du Sud ont signalé lundi qu'ils ne tarderaient pas.

   Sans même attendre de connaître la position définitive de la Cour suprême, qui doit se prononcer avant le 30 juin, le gouverneur de l'Oklahoma, Kevin Stitt, a signé mardi une loi qui interdit aux femmes de son Etat d'avorter après six semaines de grossesse. Copie d'une loi texane en vigueur depuis le 1er septembre, le texte incite les citoyens à poursuivre les médecins ou les cliniques pratiquant des avortements au-delà de ce terme, en échange d'indemnités financières.

   La veille, des gouverneurs démocrates de plusieurs Etats dont la Californie, le Nouveau-Mexique et le Michigan, avaient au contraire annoncé vouloir consacrer la légalité du droit à l'avortement même si la Cour annulait "Roe v. Wade".

   Reflétant ces fractures, les défenseurs du droit à l'avortement ont donné de la voix mardi, tandis que les opposants savouraient une victoire annoncée. Des milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Washington, New York, Boston, Los Angeles ou Seattle, pour crier leur "colère" face à la crainte d'un "retour en arrière".

   Une partie de la population américaine, notamment dans les milieux religieux, n'a jamais accepté la décision de 1973 et a livré pendant des années un combat protéiforme pour la faire annuler: les militants de base occupaient le terrain près des cliniques, tandis que leurs représentants dans les législatures locales adoptaient des milliers de lois restrictives.

   La dernière brique de l'édifice a été posée par le président républicain Donald Trump qui, aidé par les sénateurs de son parti, a fait entrer à la Cour suprême trois juges connus pour leurs positions anti-avortement, portant à six magistrats sur neuf la majorité conservatrice de l'instance.

   Ces neuf sages ont examiné en décembre une loi du Mississippi qui ramène le délai pour avorter à 15 semaines de grossesse contre deux trimestres selon le cadre fixé par la haute Cour. Lors de l'audience, plusieurs d'entre eux ont fait comprendre qu'ils comptaient profiter de ce dossier pour détricoter ou tout bonnement annuler l'arrêt "Roe v. Wade". Selon Politico, cinq se sont ensuite ralliés à cette seconde option.

   L'arrêt "Roe v. Wade", qui fondait le droit à avorter sur le droit constitutionnel au respect de la vie privée, était "totalement infondé dès le début", a écrit en leur nom le juge conservateur Samuel Alito. Le droit à avorter "n'est protégé par aucune disposition de la Constitution", a-t-il ajouté selon l'avant-projet d'arrêt qui a fuité lundi.

   Ces arguments ont suscité d'autres sueurs froides chez les progressistes. "Si l'argumentaire de la décision, tel qu'il a été publié, est confirmé, toute une série d'autres droits seraient en question", a déclaré Joe Biden, en évoquant le droit à la contraception ou le mariage des homosexuels.

Source r-llico.com 04/05/2022 ►Suite de l'article...
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Source r-llico.com 04/05/2022

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     MORMONS BLUES ?

    Etats-Unis, Utah -Une étudiante bisexuelle, Jillian Orr (photo) déterminée à obtenir son diplôme en tant qu'elle-même, a flashé la cérémonie de remise des diplômes mormons avec un drapeau arc-en-ciel interdit cousu dans sa robe de cérémonie !

    Les professeurs, les étudiants et les parents de  l'université brigham young,  étaient réunis pour cet événement et Jillian Orr craignait que l'université ne découvre sa relation avec une autre femme. Chez les Mormons, les relations homosexuelles sont proscrites en vertu de son "code d'honneur "...
    Jillian Orr craignait que l'université ne découvre sa relation avec une autre femme. - "J'étais toujours nerveuse que quelqu'un le découvre ou que quelqu'un nous dénonce."
    Après avoir réalisé qu'elle était bisexuelle à mi-parcours de son cursus, Jillian Orr est restée à l'université conservatrice mormone. Mais elle a caché sa relation, craignant d'être expulsée d'une institution qui interdit les "comportements romantiques entre personnes de même sexe".
    Cependant, elle a refusé de remettre un document requis sur "Pourquoi c'est le plan de Dieu que le mariage ne soit qu'entre un homme et une femme". Cela lui a coûté une note inférieure.

    L'insistance de l'université sur le soi-disant mariage traditionnel est juste un peu ironique. Le fondateur Brigham Young était un polygame avec au moins 55 épouses.

    Avant le jour de la remise des diplômes, Jillian Orr a décidé qu'elle voulait faire une déclaration. Elle s'est rendu compte que porter des symboles LGBTIQ+ évidents donnerait aux administrateurs la possibilité de l'interdire de la scène.
    Sa sœur cadette a suggéré de doubler sa robe universitaire avec le drapeau Rainbow Pride et de coudre la robe, ce qui n'a pris qu'une demi-heure.
    Nerveuse à l'idée que le personnel de l'université puisse la tacler sur scène, l'escorter hors des locaux ou déchirer son diplôme, Jillian Orr a néanmoins procédé à sa propre action de protestation.

    Elle a saisit sa robe de cérémonie et l'a aétendue et refermée comme des ailes devant l'auditorium médusé,  avec les couleurs glorieuses du drapeau arc-en-ciel !!

    Le personnel de l'université semblait pris de court, personne n'a réagi, ne faisant ou ne disant quoi que ce soit.
Jillian a posté sur Instagram qu'après, un autre diplômée l'a contactée.- "Elle a dit 'Ma copine t'a vue en direct à la télé et elle était si fière de toi !... merci d'avoir fait ça !"
qnews.com.au/ 29/04/2022 ►Suite de l'article...
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Source qnews.com.au/ 29/04/2022

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   PMA : Lesbiennes en colère !

   Manque de moyens, ralentissement des délais… le parcours des couples de femmes reste difficile malgré la PMA pour toutes

    (...) Des associations de défense des droits des personnes LGBT appellent à l’augmentation des moyens et à l’amélioration de la prise en charge des couples de femmes ayant recours à la procréation médicalement assistée (PMA), à l’occasion ce mardi 26 avril de la journée de la visibilité lesbienne...
    Plus de huit mois après la promulgation de la loi bioéthique permettant aux couples de femmes et aux femmes célibataires de recourir à la PMA, « toutes les femmes n’ont pas encore accès à une prise en charge en France alors qu’elles correspondent aux critères légaux », regrette dans un communiqué l’association les Enfants d’Arc-en-Ciel (EAC).
   « Impossibilité d’obtenir un rendez-vous, ou bien dans plusieurs années, conditions d’âge restreintes », détaille-t-elle.

   L’association réclame aussi au gouvernement la suppression des « conditions arbitraires et illégales ajoutées par les Cecos » (Centres d’Etudes et de Conservation des Œufs et du Sperme humain) comme « la limite d’âge abaissée » par rapport à celle fixée légalement ou encore « les preuves de vie commune exigées ».

   D’une manière générale, les femmes lesbiennes rencontrent de « grosses difficultés » au cours de leur parcours de PMA, qui s’expliquent par une « absence de moyens, qui a pour répercussion un ralentissement des délais », rapporte l’association Inter-LGBT.

   « Il y a un afflux considérable de demandes » : le gouvernement veut réduire les délais d’attente pour la PMA d’un an à six mois

   « Le gouvernement a sous-estimé la demande », et le manque de gamètes se ressent dans l’allongement des délais, déplore-t-il. « Il faut maintenant des moyens concrets, et pas uniquement dans le matériel, mais dans la formation » des professionnels.
   Jusque-là réservée aux couples hétérosexuels avec des problèmes de fertilité ou de maladie grave transmissible, la PMA a été ouverte aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires par une loi de bioéthique promulguée le 2 août dernier..."
  Source nouvelobs.com 26/04/2022 ►Suite de l'article...

PHOTO : Lors de la marche lesbienne à Paris, le 23 avril 2022....

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Source nouvelobs.com 26/04/2022

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   La Commission européenne est sérieuse...

   Ursula von der Leyen (photo) ne veut plus supporter le non-respect des règles de la Hongrie. Cela pourrait coûter au gouvernement Orbán plusieurs milliards d'euros.

    La chef de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a critiqué à plusieurs reprises l'homophobie d'État dans l'État membre Hongrie...
    La Commission européenne de la présidente Ursula von der Leyen a décidé mercredi d'engager une procédure d'État de droit contre la Hongrie - le gouvernement anti-queer du Premier ministre Viktor Orbán, qui n'a été réélu qu'au début du mois pourrait se retirer jusqu'à 40 milliards d'euros de subventions non remboursables du gouvernement hongrois dans les prochaines années perdent l'union. C'est la première fois que l'UE applique le mécanisme de l'État de droit introduit l'année dernière.
    (...) Le contexte de la procédure est une décision de la Cour européenne de justice en février, dans laquelle la Commission s'est vu accorder le droit de retirer le financement des États membres de l'UE en cas de violation de l'État de droit. Les gouvernements populistes de droite de Pologne et de Hongrie avaient porté plainte contre ce droit. Après la décision, la Hongrie a haut et fort accusé l'UE d'abus de pouvoir.

    L'UE veut utiliser le mécanisme de retrait de fonds pour lutter contre l'érosion de la démocratie de ses États membres. Le différend avec la Hongrie et la Pologne porte principalement sur la restriction de l'indépendance du pouvoir judiciaire, la remise en question de la primauté du droit de l'UE et la restriction des droits des minorités. Le chef de la commission, von der Leyen, a vivement critiqué la Hongrie pour avoir introduit une loi sur "l'homo-propagande" en juin dernier. L'homme politique de la CDU a décrit la loi comme un "prétexte pour discriminer sévèrement des personnes en raison de leur orientation sexuelle" et a annoncé que la commission prendrait des mesures contre elle.

    Cependant, la Hongrie ne sera pas coupée en argent immédiatement. Selon les informations de l'UE, cela pourrait prendre jusqu'à neuf mois pour qu'une telle mesure soit prise. Premièrement, le gouvernement hongrois dispose de deux mois pour répondre à la lettre de la Commission. Elle peut expliquer comment elle entend remédier aux griefs. La Commission dispose alors d'un mois pour examiner cette lettre. Si l'UE n'est pas convaincue par la réponse de Budapest, elle peut alors exiger une nouvelle position. Ce n'est qu'alors qu'il peut y avoir une réduction. Cela doit être approuvé par le Conseil européen à la majorité qualifiée - cela signifie que 15 des 27 pays membres, dans lesquels vivent au moins 65 % de la population de l'UE, doivent donner leur accord."...
  Source queer.de 27/04/2022 Suite de l'article...
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Source queer.de 27/04/2022

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   Elle proclame que "Dieu n'a pas peur" des LGBT+".

    Rachel Mann (photo) , transgenre, lesbienne, ex-guitariste de rock et autrice de romans policiers, Rachel Mann, révérende de l'église anglicane, revendique haut et fort son identité, jusque dans ses sermons.

    Si les droits des transgenres se trouvent au coeur des "guerres culturelles" animant actuellement les débats intellectuels et politiques, Rachel Mann a une longue expérience du sujet. Cette Anglaise née homme a été la deuxième femme transgenre ordonnée par l'Eglise d'Angleterre, en 2005...
    Aujourd'hui âgée de 52 ans, elle est chanoine honoraire à la cathédrale de Manchester (nord de l'Angleterre), doyenne régionale et membre du synode directeur de l'église.

    -"J'ai brisé un plafond de verre et je pense que ce sera plus facile pour les suivants", assure-t-elle à l'AFP à son domicile de Bury, dans le nord de l'Angleterre.

    Si l'église anglicane se trouve plus ouverte que l'Eglise catholique sur les questions LGBT+, Rachel Mann raconte avoir été qualifiée d'"agent de Satan qui a infiltré l'Eglise pour la détruire de l'intérieur", avoir reçu des insultes en ligne et même une menace de mort.

    - Mais "je crois que Dieu n'a pas peur de nous", alors "acceptez-nous, nous sommes là et nous n'avons pas l'intention de partir", plaide-t-elle.

    Scolarisée dans une école religieuse de l'Angleterre rurale, elle raconte qu'à l'âge de 10 ans, elle priait déjà pour "se réveiller en tant que fille".

"Comme la transformation ne s'est pas produite, j'ai conclu que soit Dieu était méchant (...) soit qu'il n'existait pas", dit-elle. Elle est devenue athée, a étudié la philosophie féministe à l'université, et a joué comme guitariste dans plusieurs groupes de hard rock, une époque ou elle a connu de "gros gros problèmes d'alcool et de drogues".

    Rachel Mann a enseigné la philosophie à l'université de Lancaster. C'est à l'âge de 26 ans, après avoir effectué sa transition, qu'elle a ressenti le besoin de prier, et elle considère aujourd'hui que seule l'acceptation de soi après sa transition lui a permis d'embrasser la foi.
    Son psychologue lui a assuré qu'elle redeviendrait rapidement un homme: "Dans son monde, on ne pouvait pas être chrétien et trans".
Malgré les difficultés, elle a été ordonnée un an après son amie Sarah Jones, première révérende transgenre d'Angleterre, elle-même ordonnée dix ans seulement après l'ordination des premières femmes en 1994.
L'Eglise savait que Rachel Mann était transgenre et l'acceptait. Mais, pour ne pas compliquer les choses, elle n'a pas dit qu'elle était dans une relation lesbienne, même si ce n'est pas condamné par l'Eglise d'Angleterre.

"Personne ne savait" qu'elle était transgenre, assure-t-elle dans un rire malicieux et gêné. Jusqu'à ce qu'elle publie en 2012 l'autobiographie "Dazzling Darkness" (Des ténèbres éblouissantes). Depuis, elle a écrit d'autres livres, des recueils de poésie et un roman policier, "The Gospel of Eve", qui se passe dans le milieu de l'église anglicane.

Désormais, elle se définit comme "une militante" qui "ne fait pas campagne", bien que lorsqu'elle présente la messe sur les ondes la radio publique de la BBC, elle fasse référence à son identité transgenre, ce qui reste "très difficile pour certains auditeurs".
Elle prend aussi position publiquement, écrivant avec d'autres responsables religieux au Premier ministre Boris Johnson pour protester contre son refus d'inclure les transgenres dans une loi visant à interdire les thérapies de conversion qui prétendent modifier l'orientation sexuelle.
C'est "épuisant d'être une pionnière", commente Rachel Mann qui espère qu'un jour quelqu'un brisera le "plafond violet" d'une Eglise qui n'a pas encore nommé d'évêque LGBT+.
  Source challenges.fr 21/04/2022 Suite de l'article...
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Source challenges.fr 21/04/2022

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