Les femmes qui ont des rapports sexuels avec des femmes pensent ne pas avoir besoin de test de dépistage du cancer (col de l'utérus, seins...)
En conséquence, la moitié de toutes les lesbiennes et femmes bisexuelles admissibles n'ont jamais eu de test de frottis pour le virus du papillome humain (VPH).
Près de 1 000 femmes meurent du cancer du col de l'utérus chaque année.
Ces informations proviennent de la toute première "Semaine nationale de la santé des femmes lesbiennes et bisexuelles", créé par le National LGB & T Partnership.
(...) L'organisation a déclaré que "comme le VPH peut être transmis par le contact peau à peau dans la région génitale, les femmes gays ont également le risque de contracter le VPH et, par conséquent, devrait toujours effectuer un dépistage cervical. (...)
Source pinknews.co.uk 13/03/2017 -Article complet en VO.
Notre rubrique-"Santé Lesbienne"
Notre ancienne rubrique-"LESBI-SANTÉ"
NOTE de TASSE DE THÉ : "Il faudrait par la même occasion briefer correctement les médecins généralistes aux problèmes G & L !
-"Montrez-nous une lesbienne qui ne boit pas et nous vous montrerons un trèfle à quatre feuilles. D'accord, en l'étirant un peu, mais l'association des lesbiennes et l'alcool, les distributeurs de boissons alcoolisées savent combien nous sommes un grand marché..."
Des études indiquent des taux plus élevés d'abus chez les homosexuelles. Le Service Administratif du traitement de la toxicomanie et de santé mentale (SAMHSA) a signalé que les lesbiennes souffrent d'abus d'alcool à un taux plus élevé que la population générale.
Malheureusement, même si la relation entre les lesbiennes et l'alcool est une longue histoire, ces abus ont des conséquences terribles. Le corps des femmes est prédisposé à s'enivrer plus facilement et l'alcool y provoque plus de dégâts que chez les hommes.
De plus, l'Institut national sur l'abus d'alcool et l'alcoolisme (NIAAA) a déclaré que les femmes qui ne sont pas mariées, ou sont séparées ou divorcées sont numéro un des excès de boissons. En outre, une femme est susceptible de boire beaucoup si sa partenaire boit beaucoup aussi...
La première et plus importante étape est d'admettre qu'il y a un problème. - Jennifer Storm, est une auteure et une lesbienne qui a lutté contre l'alcoolisme depuis l'âge de 12 ans. Douze ans d'abstinence, Jennifer Storm est non seulement "sortie", mais elle a décidé de prendre la parole sur les dangers de l'abus d'alcool qui touchent les lesbiennes comme elle.
-"Je regarde autour de moi, ma communauté et je vois des femmes de 40, 50 et 60 ans, encore et encore boire", a -t-elle déclaré. Comment pouvons-nous vivre notre vie honnêtement si nous sommes ivres ou droguées tout le temps? Comment pouvons-nous savoir qui nous sommes vraiment?" a t-elle ajouté.
Source lesbiannews.com 05/10/2016 -Article complet en VO. -
Homosexuels et bisexuels sont davantage exposés aux problèmes de santé mentale, physique, tabagisme et de consommation excessive d'alcool que les hétérosexuels, selon une étude américaine publiée lundi, expliquant ce constat par le stress lié à la discrimination dont ces communautés sont victimes.
L'enquête publiée dans la revue médicale américaine JAMA Internal Medicine et conduite au niveau national en 2013 et 2014 aux Etats-Unis a comparé l'état de santé, les taux de tabagisme et la consommation d'alcool de 525 lesbiennes, 624 homosexuels et 515 bisexuels à 67.150 hétérosexuels.
"Notre étude indique que la communauté des lesbiennes, gays et bisexuels connaît d'importantes disparités en matière de santé, surtout mentale et également en termes de consommation d'alcool ou de tabagisme", relèvent les auteurs. Selon eux, "ces disparités s'expliquent probablement par le stress résultant de la marginalisation et de la discrimination que subit la communauté homosexuelle et bisexuelle en raison de sa préférence sexuelle".
(...) Dans le détail, 21,9% des femmes hétérosexuelles présentent des symptômes modérés et sévères de problèmes psychologiques, contre 28,4% pour les lesbiennes et 46,4% pour les femmes bisexuelles. Ces dernières étaient les plus fortes consommatrices d'alcool avec 11,7% de ce groupe contre 8,9% pour les lesbiennes et 4,8% parmi les hétérosexuelles. Plus de 25% des lesbiennes et bisexuelles étaient fumeuses contre seulement 14,7% des hétérosexuelles.
Les lesbiennes étaient par ailleurs plus souvent en mauvais état de santé que les femmes hétérosexuelles tandis que les bisexuelles souffraient plus fréquemment de multiples maladies chroniques que les hétérosexuelles. Au total le groupe représentatif de 68.814 personnes comptait 51% de femmes et l'âge moyen était proche de 47 ans.
E-llico.com 28/06/2016 -Article complet.
Nos anciennes rubriques : SANTÉ LESBIENNE
Le problème naît souvent au moment de la formation des gynécologues....
Plusieurs femmes ont témoigné de la façon parfois choquante dont elles ont été traitées par un.e gynécologue. Et si la raison de ces difficultés résidait dans la formation de ces professionnel.le.s de santé?
Pour le médecin généraliste Marc Zaffran (écrivain sous le pseudonyme de Martin Winckler), les écoles de médecine françaises enseignent aux étudiant.e.s que "les femmes sont faites pour avoir des enfants mais elles ne savent pas ce qu’elles veulent". Ces futur.e.s professionnel.le.s se croiraient donc en droit de faire des choix à la place de leurs patient.e.s.
-"D’après cette perception, une femme lesbienne et une personne transgenre ne sont pas de vraies femmes, écrit le médecin, puisqu’il leur manque des organes sexuels voués à la reproduction féminine et/ou un homme pour les engrosser. Ces prémisses ne sont pas seulement sexistes, ils sont aussi, comme on le disait autrefois, bourgeois: le discours médical renforce et avalise nombre de préjugés sociaux – ici, homophobie et transphobie."
Pour sortir de cette ornière, Marc Zaffran/Martin Winckler préconise de cesser d’enfermer les patient.e.s dans «des schémas pré-établis» et veut favoriser «une formation privilégiant la réflexion, la nuance, l’humilité, le respect de l’autre, le désir de bien faire sans faire mal et un apprentissage de l’écoute». Une analyse à lire sur École des soignants."
Source yagg.com 02/12/2014 Article complet
Tasse de Thé DOSSIER Prévention
Infos doc en ligne"Ma première consultation gynécologique"
Plaisir de retrouver Amélie Mauresmo, consultante chez France Télévisions pour le Tournoi de Roland Garros, du 25 mai au 8 juin 2014. Elle commente le Tournoi du 25 mai au 8 juin 2014...
Depuis qu'elle a mis fin à sa carrière, Amélie Mauresmo a déjà travaillé pour la chaîne de service public en mai 2010. Elle a également couvert l'US Open début septembre la même année et a animé une émission lors de l'Open d'Australie en 2011, cette fois pour Eurosport. (Source Lexpress.fr/actualite)
"Et Amélie Mauresmo à la soirée Sport & Philanthropie au Club des Loges à Paris, le 28 mai : Alors que Roland-Garros bat son plein, attirant les célébrités dans ses tribunes comme le Festival de Cannes avait pu le faire quelques jours plutôt avec sa célèbre montée des marches, la soirée Sport & Philanthropie a profité de l'événement pour réunir un casting de rêve..."
Source purepeaople.com 30/05/2014 Suite article complet - Le Blog d'Amélie