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Élodie FONT - "À nos désirs"
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Tasse de Thé a sélectionné pour vous !
Sortie du livre d'Élodie FONT "À nos désirs", dans l'intimité des Lesbiennes"...
 
RUGBY FÉMININ - Tournoi des Six Nations
rugby-lesbleues_0.jpgTasse de Thé ❤️ les Sportives !
Écosse - France ce samedi 30 mars à 15h15 sur France 2..
L'actrice Rebel Wilson a eu sa première relation sexuelle à 35 ans
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POTINS LESBIENS
La star hollywoodienne Rebel Wilson (photo à gauche)se révèle tardivement et dit vouloir encourager les autres à travers sa révélation très privée...
Fulanita Fest : le plus grand festival lesbien d'Europe
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FULANITA FEST 23 - 26 Mai
ESPAGNE -Si vous avez déjà rêvé d’une ville où vivent uniquement des femmes lesbiennes et bisexuelles, -
BAGDAM ❤️de TOULOUSE
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25e Printemps lesbien de Toulouse
 du 4 au 28 avril 2024 -
Famille homoparentale : Parent biologique, parent adoptant… ?
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DROITS HOMOPARENTS
Qui est considéré comme étant le "parent légal" de l’enfant ? La reconnaissance conjointe d’un enfant par un couple de femmes...

LezPresse

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   MERCI À TOUS CELLES ET CEUX QUI SE SONT BATTUS POUR NOS DROITS !!!

  Et c'est aussi la date anniversaire du Mariage pour Tous en France !

   "Le 17 mai a été choisi (à l’initiative de Louis-Georges Tin) comme date symbolique pour la journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie pour commémorer la décision de l'OMS le 17 mai 1990 de ne plus considérer l'homosexualité comme une maladie mentale...

   C'est le 17 mai 2005 que l'initiative d'une journée de lutte contre l'homophobie a été organisée à l'échelle internationale pour la première fois, grâce aux efforts de Louis-Georges Tin, un professeur et activiste français. Il a été le président du Comité IDAHO (du nom de la journée en anglais, International Day Against Homophobia and Transphobia) entre 2005 et 2013.

   La première journée a eu lieu le 17 mai 2005, soit 15 ans jour pour jour après la suppression de l'homosexualité de la liste des maladies mentales de la classification internationale des maladies publiée par l'Organisation mondiale de la santé, à savoir le 17 mai 1990.

   Depuis 2005, la journée IDAHO (International Day Against Homophobia and Transphobia) mobilise l’opinion publique sur les problèmes liés à l’homophobie et à la transphobie par le biais de colloques, de manifestations de rue ou d’événements artistiques.

   Cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l'homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie... "
    Source Source WIKIPEDIA ►Suite de l'article...

  + Voir notre rubrique "archives" sur OLD TDT : NOS LUTTES

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     THE KIDS ARE ALRIGHT...

 ESPAGNE - "Les filles, nous sommes des femmes courageuses, aussi bien celles qui sont mères que celles qui veulent l'être.

  Car s'il est vrai que le monde change, il change très lentement et nous sommes toujours confrontés à des discriminations : impossibilité d'inscrire nos enfants à l'état civil si nous ne sommes pas mariés, impossibilité d'appliquer la méthode ROPA à la Sécurité Sociale, entre autres des choses...
    Les lesbiennes mamans sont encore inexistantes dans de nombreuses formes d'administration publique, l'écrasante majorité des dessins animés ne représentent pas notre modèle de famille, et il est difficile de trouver des livres pour enfants avec des histoires de deux mamans.

  Notre visibilité et nos familles changent le monde, brisent les préjugés et font preuve de diversité dans les crèches, les quartiers, les écoles, les supermarchés, les centres de santé, etc.

  ... Remerciez les familles et les amis qui soutiennent ... Nous sommes de nombreuses familles, toutes différentes, et nous sommes pleins d'amour.
  Nous devons aussi nous informer, savoir quels sont nos droits, entrer en contact avec d'autres familles comme la nôtre, nous soutenir mutuellement, créer des tribus, nous associer et continuer à nous battre... "
Source mirales.e 15/05/2022 ►Suite de l'article...

Notre ancienne rubrique (Old TDT) HOMOPARENTS

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Source mirales.e 15/05/2022

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  AU PAYS DU SOLEIL LEVANT

  "Le Japon est le seul pays du G7 à ne pas reconnaître les unions de même sexe et sa Constitution stipule que «le mariage ne peut avoir lieu qu’avec le consentement mutuel des deux sexes».

  La ville de Tokyo va reconnaître les unions entre personnes de même sexe dès novembre après avoir amendé la réglementation en vigueur, devenant la plus grande ville à s’engager sur cette voie au Japon, ont annoncé mercredi des responsables locaux.
  Le Japon est le seul pays du G7 à ne pas reconnaître les unions de même sexe et sa Constitution stipule que «le mariage ne peut avoir lieu qu’avec le consentement mutuel des deux sexes».
  «Nous avons recueilli les avis du public ces deux derniers mois et nous avons entendu les opinions (des couples de même sexe) qui ont dit vouloir être reconnus comme partenaires», a déclaré à l’AFP un porte-parole du gouvernement de Tokyo.
   Le gouvernement métropolitain de Tokyo prévoit de demander à l’assemblée locale d’approuver la révision d’un arrêté le mois prochain, puis de commencer à accepter les dossiers en octobre et de délivrer les certificats en novembre.

  La ville envisage d’offrir divers services actuellement réservés aux couples mariés à ceux qui disposeront de ce certificat de partenariat, dont l’accès à des logements gérés par Tokyo, a précisé le porte-parole.

  En 2015, l’arrondissement de Shibuya dans la capitale est devenu le premier au Japon à commencer à délivrer des certificats symboliques de “partenariat” aux couples de même sexe.
  De nombreuses autres collectivités ont suivi le mouvement, et selon des associations plus de 200 municipalités reconnaissent désormais les unions de même sexe, accordant aux couples des droits comme la possibilité de rendre visite à leur partenaire à l’hôpital et de louer une propriété ensemble.

  L’année dernière, un tribunal de Sapporo (nord du Japon) a rendu une décision historique en déclarant que la non-reconnaissance du mariage de même sexe au Japon était anticonstitutionnelle, ce qui a été salué comme une victoire majeure par des associations.

  Le Premier ministre japonais Fumio Kishida s’est toutefois montré prudent quant à la possibilité d’apporter des modifications législatives au niveau national pour reconnaître les unions de même sexe.
  Le pouvoir au Japon, dominé depuis plus d’un demi-siècle par le Parti libéral-démocrate (PLD), une formation de droite conservatrice, freine des quatre fers sur la question depuis des années.

  En Asie, seul Taïwan autorise le mariage pour tous et toutes, depuis 2019.

Source fugues.com 12/05/2022 ►Suite de l'article...
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Source fugues.com 12/05/2022

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   FUIR LA RUSSIE...

  "Sous un déguisement et avec l'aide d'amis, la musicienne et militante queer s'est rendue en Lituanie.

  Maria V. Alyokhina, leader du groupe punk activiste russe Pussy Riot , s'est échappée de son pays d'origine et son histoire se lit comme un thriller d'espionnage moderne...
  Déguisée en livreuse de nourriture et laissant son téléphone portable derrière elle, Alyokhina a échappé à l'attention de la police alors qu'elle quittait l'appartement de son amie à Moscou, a déclaré l'artiste au New York Times .
  De là, Alyokhina, 33 ans, a pris un tour avec un ami qui l'a emmenée à la frontière de la Biélorussie, d'où elle s'est finalement rendue en Lituanie.

  (...) Alyokhina est la cible des autorités russes pratiquement depuis qu'elle dirige les Pussy Riot. En 2012, le groupe a organisé une manifestation contre Vladimir V. Poutine dans la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou, ce qui a conduit à la condamnation d'Alyokhina à deux ans de prison pour le crime de "hooliganisme". Sans se décourager, elle a continué à repousser le système oppressif du pays, ce qui l'a amenée à être emprisonnée pendant 15 jours à six reprises - toutes destinées à freiner son activisme politique.

  Malgré ce harcèlement fréquent, Alyokhina est restée en Russie. Cela a changé pour elle en avril de cette année, cependant, lorsque Poutine a intensifié les efforts du pays pour réprimer les critiques concernant l'invasion du pays en Ukraine.

  En raison de son franc-parler continu, Alyokhina a été informée qu'elle était transférée de l'assignation à résidence pour passer 21 jours dans une colonie pénitentiaire. Sa petite amie, Lucy Shtein, s'était enfuie en Lituanie un mois auparavant - après que quelqu'un ait mis une pancarte sur la porte de leur appartement les qualifiant de traîtres - alors Alyokhina a également décidé de quitter le pays.

  "Je ne comprends toujours pas complètement ce que j'ai fait","Cela ressemble à un roman d'espionnage." a-t-elle déclaré au Times.
  Alyokhina espère un jour pouvoir rentrer chez elle."
Source advocate.com 11/05/2022 ►Suite de l'article...
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Source advocate.com 11/05/2022

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   WORKING GIRLZ ?

   Au travail, les femmes lesbiennes hésitent à faire leur "coming out".

  Quel que soit le secteur professionnel dans lequel elles évoluent, ou leur position dans la hiérarchie, elles craignent les remarques déplacées, l'incompréhension ou tout simplement les discriminations.
   Au travail, les femmes lesbiennes hésitent à faire leur "coming out". Quel que soit le secteur professionnel dans lequel elles évoluent, ou leur position dans la hiérarchie, elles craignent les remarques déplacées, l'incompréhension ou tout simplement les discriminations.

  "Ça passe par une petite remarque ou un regard. Ça semble peu, mais c'est une petite pierre qui s'ajoute dans mon 'sac à dos'", confie Aurore Foursy, 39 ans, cadre dans une entreprise agroalimentaire. "C'est un peu la double peine. Si en plus du sexisme, on vit avec une femme, on est davantage marginalisées".

   Si 80% des lesbiennes disent avoir confié à une poignée de collègues être homosexuelles, elles sont moins d'un tiers à l'avoir évoqué devant leurs supérieurs hiérarchiques, selon les résultats d'une enquête Ifop réalisée auprès de 1.400 personnes pour l'association L'Autre cercle, qui lutte contre les discriminations au travail des personnes LGBT.
   Parmi celles qui n'ont jamais évoqué au bureau leur vie de couple avec une femme, quatre sur dix disent avoir "inventé" une vie hétérosexuelle pour les conversations entre collègues, en changeant par exemple le prénom de leur compagne par un prénom masculin. Aurore Foursy, elle, "essaie d'en parler dès le début" d'un nouveau poste. Afin de "ne pas être coincée" car "c'est dur de s'en sortir ensuite".

   Plus de la moitié des lesbiennes qui n'ont pas caché leur homosexualité déclarent, selon l'enquête pour L'Autre cercle, avoir été victime d'au moins une forme de discrimination ou d'agression en raison de leur orientation sexuelle. Une proportion plus élevée dans des secteurs traditionnellement masculins, comme les transports ou l'industrie.

   L'autocensure, les efforts pour se cacher et/ou la crainte des discriminations pèsent sur le moral et la santé des lesbiennes, qu'elles aient ou pas fait leur coming out dans leur vie professionnelle, relève l'association.
   Et cela n'aide pas les lesbiennes "invisibles" à évoquer leur vie de couple ou de famille au bureau, comme c'est souvent l'usage pour leurs collègues hétéros. Beaucoup aimeraient pourtant en parler, mais n'osent pas par peur des conséquences. "La hiérarchie et les différenciations de genre restent fortes.

   Ce n'est pas facile de dire tout haut qu'on est lesbienne dans un environnement" professionnel, déclare Anaïs, 26 ans, qui ne souhaite pas donner son nom de famille. "On reproduit les schémas, les clichés autour de la norme hétéro, sans se remettre en question", regrette cette salariée d'une grosse entreprise publique.

   Relativement nouvelle eu sein de sa société, elle n'a pas encore évoqué sa vie amoureuse avec ses jeunes collègues. Mais elle pose sa gourde aux couleurs du drapeau LGBT sur son bureau. "La visibilité des LGBT est importante pour faire bouger les choses", dit-elle, espérant avoir bientôt le courage de sauter le pas auprès des collègues qu'elle apprécie le plus.
   La solution pour aider les lesbiennes à être elles-mêmes au travail ? "La visibilité de collègues LGBT et l'exemplarité de l'entreprise, qui garantit un environnement de travail favorable", selon Sylvie Meisel, 63 ans. Jusqu'à ses 45 ans, elle n'a jamais osé rien dire de sa vie affective et familiale au travail. "C'était une vraie autocensure. Tout le monde racontait son week-end, et moi je partais ou j'esquivais toute question", se souvient celle qui occupait alors un poste de direction dans une entreprise privée. Au travail, les femmes dirigeantes sont déjà confrontées au sexisme, relève-t-elle.

   Si on ajoute le fait d'être lesbienne, "c'est la double discrimination". Lorsqu'elle a changé d'employeur à 45 ans, elle a eu pour collègues des femmes qui ne cherchaient pas à cacher leur homosexualité. "C'est devenu facile d'en parler". Elle s'est alors rendue compte "du poids psychologique" qu'avait causé le silence qu'elle s'était imposé pendant plus de 20 ans.

Source elle.fr 11/05/2022 ►Suite de l'article...
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Source elle.fr 11/05/2022

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