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Goudies

Coucou les Trans

Depuis le mois de décembre, les accusations de transphobie se multiplient autour de J.K. Rowling.

L'autrice de la saga "Harry Potter" est de nouveau sous le feu des critiques après sa prise de position sur les personnes trans. Une nouvelle polémique qui en dit beaucoup sur sa vision du Genre.
Depuis ce dimanche 5 juillet, J.K. Rowling continue de faire l’objet d’une vaste polémique. En cause, une série de tweets dans laquelle elle compare les traitements hormonaux suivis par les personnes trans aux thérapies de conversion dont ont été victimes de nombreux homosexuels.
- “J’ai ignoré de faux tweets, largement partagés, qui m’ont été attribués, démarre l’écrivaine de 56 ans. J’ai ignoré les messages à caractère pornographiques envoyés à mes enfants dans un thread sur leurs pratiques artistiques. J’ai ignoré les menaces de mort et de viol. Mais ça, je ne vais pas l’ignorer.”
Elle fait référence, ici, aux reproches qui lui ont été faits au cours des derniers jours après avoir “liké” le message d’une utilisatrice sur Twitter. “Les prescriptions d’hormones sont les nouveaux anti-dépresseurs, soufflait cette dernière. Oui, ils sont parfois nécessaires et peuvent sauver des vies, mais devraient être un cas de dernier recours et non la première option. Ceux qui préfèrent donner des médicaments plutôt que de consacrer du temps et des efforts à guérir l’esprit des gens font preuve d’une grande paresse.”
D’après J.K. Rowling, “de nombreux professionnels s’inquiètent du fait que les jeunes, en proie à des problèmes de santé mentale, sont poussés à prendre des hormones et à subir des opérations chirurgicales alors que ce n’est peut-être pas leur dans leur intérêt”.
J.K. Rowling et les hormones Elle poursuit: “Nombre d’entre nous, dont moi, pensons que nous assistons à un nouveau type de thérapie de conversion pour les jeunes homosexuels, qui seraient poussés vers une médicalisation à vie pouvant entraîner la perte de leur fertilité et de leur pleine fonction sexuelle.”
Ce qu’évoque la romancière, ce sont les inhibiteurs d’hormones, des médicaments utilisés pour inhiber la puberté. Ils sont notamment prescrits aux adolescents trans afin d’empêcher temporairement l’apparition de certaines caractéristiques physiques, à l’instar de la pomme d’Adam ou des poils sur le visage. Ils permettent ainsi d’éviter d’avoir recours à certaines opérations chirurgicales, plus tard dans la vie.
Comme le rappelle le site d’infos britannique PinkNews, de nombreuses études scientifiques ont été réalisées à ce jour, témoignant de l’intérêt vital que ces “bloqueurs de puberté” peuvent avoir sur les adolescents trans, une population chez qui le risque de suicide est beaucoup plus élevé.
(...) “Pourquoi comparer le fait d’être trans et de souffrir de problèmes de santé mentale en premier lieu, se demande une autre utilisatrice. Ce sont deux choses complètement différentes.” “Il n’y a rien de paresseux là-dedans et le fait de suggérer que ça l’est ne fait qu’aggraver les stigmates, ajoute quelqu’un d’autre. Aussi, sérieusement, laissez les personnes trans tranquilles.”

Et ce n’est pas la première fois que ses prises de position sur les personnes trans provoquent de telles critiques. Au mois de décembre dernier, elle a apporté son soutien à Maya Forstater, une chercheuse licenciée pour avoir écrit sur Twitter qu’on ne peut pas “changer de sexe biologique”, c’est-à-dire ce qui détermine notre genre à la naissance.

“Comme je l’ai dit dans ma déposition, je crois que le sexe est un fait biologique et immuable. Il y a deux sexes. Les hommes sont des mâles. Les femmes sont des femelles. C’est impossible de changer de sexe. Ceci était entendu, jusqu’à très récemment, comme étant des faits de vie de base.”
Pour Maya Forstater, comme J.K. Rowling, une femme trans ne serait pas une femme. Ce discours, qui tend à nier l’identité de genre des personnes trans, est puni par la loi en France d’amendes et de peines de prison, d’après un décret du mois d’août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures publiques à caractère transphobe.
Sexe et genre, l’amalgame Au mois de juin dernier, rebelote. Pour accompagner le partage d’un article parlant “des personnes qui ont leurs règles”, J.K. Rowling fait alors semblant d’avoir oublié le mot “femmes”. Elle se fend d’un commentaire sarcastique: “Je suis sûre qu’on devait avoir un mot pour ces gens. Que quelqu’un m’aide. Feum? Famme? Feemm?”.
Sur les réseaux sociaux, on rappelle à l’écrivaine que des hommes trans ou des personnes non-binaires, c’est-à-dire des personnes qui ne s’identifient ni hommes ni femmes, peuvent aussi avoir leurs règles. Elle leur répond: “Si le sexe n’est pas réel, alors l’attirance entre les personnes de même sexe n’existe pas. Si le sexe n’est pas réel, alors la réalité vécue par les femmes du monde entier est effacée. Je connais des personnes trans et je les aime, mais effacer le concept de sexe enlève à de nombreuses personnes la possibilité de parler concrètement de leur vie. Il n’y a rien de haineux à dire la vérité.”
L’amalgame des termes “sexe” et “genre” suscite l’indignation. Il contribue à l’idée selon laquelle le genre d’une personne serait conditionné par ses organes génitaux. Le sexe tient à l’aspect biologique. Le genre, ce à quoi on s’identifie. Comme le rappelle l’Association des journalistes LGBT, “les personnes trans ne ‘changent pas de sexe’, pas plus qu’elles ne ‘deviennent’ un homme ou une femme: elles mettent leur corps en adéquation avec ce qu’elles sont”.
(...) À son tour, Emma Watson prend la parole. L’actrice, connue pour avoir interprété le personnage d’Hermione Granger dans les huit films, rappelle sur Twitter que “les personnes trans sont qui elles disent être et méritent de vivre leur vie sans être constamment remises en question ou qu’on leur dise qu’elles ne sont pas qui elles disent être”.

Le mouvement des TERFs *
Devant l’avalanche de critiques, J.K. Rowling prend la plume. Pour mettre en contexte ses commentaires controversés, l’écrivaine raconte dans un billet avoir été victime de violences conjugales et d’agression sexuelle. Elle répond aussi au terme de “TERF” qui lui est parfois donné.

D’après cet article du Monde, l’acronyme pour “trans-exclusionary radical feminist” “désigne des personnes qui estiment que les luttes trans invisibilisent les luttes pour les droits des femmes”. “L’autre problème est que dans leur discours de défense des espaces réservés aux femmes, le mouvement des TERFs, précise Slate, utilise une rhétorique qui suggère que les femmes trans sont une menace pour la sécurité des femmes.”
Très présentes dans le débat féministe au Royaume-Uni, ces idées tentent de faire leur chemin en France. Au mois de janvier, l’ancienne militante des Femen Marguerite Stern a déploré que le mouvement des collages anti-féminicides soit utilisé par des femmes trans.
-“J’observe que les hommes qui veulent être des femmes se mettent soudainement à se maquiller, à porter des robes et des talons. Et je considère que c’est une insulte faite aux femmes que de considérer que ce sont les outils inventés par le patriarcat qui font de nous des femmes. Nous sommes des femmes parce que nous avons des vulves”, prônait-elle dans les colonnes du Monde.
Une définition “malveillante” Une autre partie des féministes, proche du courant intersectionnel (un mouvement qui appelle à la solidarité entre toutes les femmes pour mettre en avant la jonction des discriminations), n’est pas d’accord.

- “Toute cette question s’articule autour d’une volonté d’étiqueter les femmes trans comme étant des hommes pour mieux leur retirer les droits dont elles jouissent actuellement, estime la militante Katy Montgomerie sur Medium. Au Royaume-Uni, le pays où J.K. Rowling et moi vivons, les femmes trans utilisent les espaces réservés aux femmes depuis bien avant notre naissance, et elles bénéficient d’une protection légale à cet égard depuis plus d’une décennie.”

Elle ajoute: “Une définition de la ‘femme’ qui exclut les femmes trans et intersexes n’est pas seulement vaine, elle est intrinsèquement malveillante. Elle ne s’intéresse ni aux preuves, ni à la science, pas plus qu’elle ne vise à mettre fin au sexisme. Elle sert uniquement à justifier le postulat selon lequel ‘les femmes trans sont des hommes’.”
Sur son blog, J.K. Rowling tente la conciliation. “Comme toutes les autres survivantes de violences conjugales et d’agression sexuelle que je connais, je ne ressens que de l’empathie et de la solidarité envers les femmes transgenres qui ont été maltraitées par des hommes”, précise-t-elle, sans jamais s’excuser auprès de celles et ceux qu’elle a pu blesser.
Source huffingtonpost.fr 06/07/2020 ►Suite de l'article complet.
 

*"Les sorties sur Twitter de Marguerite Stern, à l’initiative de Collages féminicides à Paris, auront eu le mérite de nous familiariser avec l’acronyme TERF (pour Trans-Exclusionary Radical Feminist) qui désigne des féministes essentialistes qui militent pour l’exclusion des femmes trans des luttes féministes. Stern estime en effet que les revendications des femmes trans – qu’elle désigne comme « des hommes qui veulent être des femmes » (sic) – sont le bras armé du patriarcat pour silencier les femmes cis. Et c’est sûr que les personnes trans en général, et les femmes trans en particulier, bénéficient des bienfaits du patriarcat lorsqu’elles sont inlassablement mégenrées, lorsqu’elles se voient nier les mêmes droits que les personnes cis, lorsqu’elles sont agressées, violentées et tuées dans la rue. Comme le rappelle une tribune parue dans Libération le 26 février dernier, les femmes trans sont des femmes. Il n’y a pas de débat sur la question, juste de la transphobie... "

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Home sweet...

Si tout va bien, le premier HOME pour personnes âgées LGBT de Suisse verra le jour en 2025 à Zurich, rapporte la «Neue Zürcher Zeitung»...

Le projet Espenhof-Nord comptera 135 unités, dont 20 réservées aux personnes LGBT. Image: Ville de Zurich.
Le projet, fruit d’une collaboration entre la SAW, une fondation de la Ville de Zurich, et l’association QueerAltern, a été présenté hier. Vingt appartements, pour un total de 24 places, sont prévus dans l’ensemble Espenhof-Nord, qui comprendra 135 unités dans le quartier d’Albisrieden.
- «Nous espérons que ce projet pionnier poussera des institutions conventionnelles à mener un travail de réflexion», a estimé Barbara Bosshard, présidente de QueerAltern. Elle a rappelé que l’enjeu était d’éviter un «retour au placard» des seniors LGBT.
À ses côtés se trouvait une figure historique de la communauté gay zurichoise: Ernst Ostertag. Le nonagénaire a exposé son appréhension à entrer dans un EMS dans les conditions actuelles, surtout seul, après le décès de son compagnon Röbi Rapp en 2018. «Vous ne rencontrez pas forcément beaucoup de compréhension pour d’autres formes de sexualité. Mais, à un certain âge, vous n’avez plus envie de lutter, et plus envie non plus de vous exposer à de possibles blessures.»
Le film raconte comment elles se sont rencontrées, comment elles sont tombées amoureuses, comment elles sont finalement sorties du placard auprès leurs familles conservatrices et comment elles ont secrètement développé leur amour parallèlement à leur carrière professionnelle à Chicago...
Source 360;ch 08/07/2020 Suite de l'article complet en VO.
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Whouu are youuu

Des choses qui apparaissent au début d'une relation, que nous avons tendance à ignorer jusqu'à ce qu'il soit trop tard ?

Avec le recul, nous réalisons que les signes étaient là tout le temps et nous nous engageons à y prêter attention mais la prochaine fois.
Dans les rencontres en ligne, certaines alertes peuvent en fait être pressenties avant même d'avoir pris contact avec la personne.
D'autres peuvent être repérées juste après le premier rendez-vous.
Voici quelques-unes de ces alertes qui devraient vous faire vous stopper et réfléchir avant d'aller plus loin :
Son profil est beaucoup trop long
Les femmes ont tendance à écrire plus que les hommes et nous prêtons également attention à ce qui est dit. D'un autre côté, si quelqu'un pèse 500 mots de divagations, cela pourrait signifier qu'elle a beaucoup trop de temps pour elle-même ou qu'elle est un peu désespérée de trouver quelqu'une. Cela pourrait être un signe qu'elle est susceptible d'être plutôt dans le besoin et peut vouloir faire bouger les choses trop rapidement.
Elle mentionne les relations passées dans le profil
Toute personne qui inclut des bagages dans son profil doit souffrir de d'important problèmes de souvenirs douloureux. Il n'y a pas de place pour ce genre de chose dans ce qui est censé être tourné vers l'avenir dans un avenir meilleur. Si quelqu'un mentionne son ex, cela devrait immédiatement faire sonner l'alarme dans votre tête.
Il y a trop de négatifs dans son profil
Nous savons toutes ce que c'est que d'être contactée à plusieurs reprises par des personnes inadaptées, mais si quelqu'une commence à traduire cela en une liste brève de femmes qu'elle ne veut pas rencontrer, cela peut signifier que vous avez affaire à quelqu'un qui est critique et trop pointilleuse, prenez note potentiellement que cela peut être vain.
Elle paraît trop en demande
L'interaction doit être une voie à double sens. Si vous vous trompez toutes les deux et que vous ressentez le besoin d'envoyer constamment des SMS ou des e-mails, c'est parfait. Mais si vous venez de prendre contact et qu'elle est déjà partout sur vous avec des tas d'e-mails, de textos et de messages sans que vous ayez fait la même chose en retour, alors vous pourriez bien avoir un problème. Elle ne tardera pas à suggérer que vous emménagiez ensemble après le premier rendez-vous. (en même temps c'est très lesbien)
Elle disparaît souvent
D'un autre côté, si les choses semblent aller bien mais que votre internaute disparaît constamment pendant des jours sans explication, cela peut être un signe qu'elle n'est pas aussi engagée dans votre relation potentielle que vous. La plupart des gens ont besoin de temps pour eux-mêmes, en particulier au début d'une relation, mais il y a une fine ligne entre le temps seule et le temps potentiel de «voir quelqu'un d'autre et de garder ses options ouvertes».
Source Diva Staff 11/05/20 ► Suite Article complet

Notre ancienne rubrique (Old TDT/ Humour Lesbien)
GUIDE SAPPHIQUE DES FEMMES DANGEREUSES

 

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Témoignage émouvant

Un documentaire Netflix sur l'incroyable amour de deux femmes américaines ensemble depuis 65 ans !

Terry Donahue et Pat Henschel(photos) s'aiment depuis 65 ans

Une histoire courageuse, émouvante et surtout nécessaire dans ce monde audiovisuel où la communauté LGBT des personnes âgées est absolument sous-représentée.

 S'aimer n'était ni légal ni facile il y a 6 décennies, alors ces lesbiennes ont traversé de nombreuses aventures et mésaventures pour arriver là où elles sont, s'aimer exactement de la même manière, voire plus, que le premier jour.
Produit par le réalisateur, scénariste et producteur Ryan Murphy, l'un des créateurs les plus engagés à montrer la réalité LGBT du moment. Ryan, qui est gay, marié et a deux enfants avec son mari, est le créateur de Glee et Pose , deux de nos joyaux LGBT dans le monde des séries.
Terry a inspiré le film "They Hit It", avec Genna Davis. Le film raconte comment la guerre et que les hommes sont allés au front ont donné aux femmes un espace pour jouer au baseball et démontrer qu'elles étaient aussi capables qu'elles étaient de rivaliser, de réussir et d'attirer le public.
Malheureusement, l'orientation sexuelle de Terry, joueuse de baseball professionnelle dans les années 60, n'était pas autorisée et Terry est restée alors "dans le placard"
Même si Terry et Pat étaient très appréciées par leur famille et leur environnement, ce n'était pas pour cette raison qu'il leur été facile de partager leur réalité.
Le film raconte comment elles se sont rencontrées, comment elles sont tombées amoureuses, comment elles sont finalement sorties du placard auprès leurs familles conservatrices et comment elles ont secrètement développé leur amour parallèlement à leur carrière professionnelle à Chicago...
Source mirales.es 27/04/2020 Suite de l'article complet en VO.
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LESBIENNE-vs-TRANSEXUELLE ?!

Manifeste pour le droit de choisir sans étiquette de discrimination Transphobe.

"Nous lesbiennes voulons le droit de choisir avec quels adultes consentants nous couchons sans avoir à nous justifier et avec qui nous nous réunissons pour vivre notre lesbianisme.
Il y a une différence sexe/genre. Le genre est un ensemble de caractéristiques sociales assignées à la naissance, le sexe est un ensemble de caractéristiques physiques constatées à la naissance. Il existe une petite minorité de personnes considérées intersexuées mais même pour la majorité de ces personnes, il y a peu d’ambiguïtés sexuelles constatées à la naissance. On n’assigne pas des caractéristiques physiques, on les constate.
Il existe des personnes attirées par les personnes de même genre. Et des personnes attirées par les personnes de même sexe. C’est notre cas. En raison de cela, nous souffrons d’une vague de violences interne à la communauté LGBT. Notre sexualité est dénigrée comme étant « invalidante ».

Nous ne nous opposons pas à l’existence de communauté homo-genrées parallèles aux nôtres, avec les quelles nous pourrions avoir des espaces et des luttes communes si notre altérité était respectée. Notre objectif dans la vie n’est pas de faire la guerre aux autres minorités : nous voulons juste le droit d’être différentes.

Les lesbiennes ne peuvent pas parler de leurs corps ou de leurs sexualités à elles dans les espaces inclusifs LGBT parce tout rappel de la différence des sexes invalide certaines identités. Nous devons aussi parfois écouter des gens parler de leur pénis et de leurs érections « de trans-lesbienne» ce qui est très embarrassant pour beaucoup d’entre nous.
Mais se réunir entre nous, même le temps d’une soirée, c’est « invalider » des identités. C’est ainsi que des groupuscules attaquent publiquement des figures de la communauté lesbienne pour expliquer qu’un « non » peut être transphobe, même si il doit respecter. Tout étant questionné... (1) ou que « dire non à une femme parce qu’elle a un pénis, c’est confondre identité sociale de genre et désirs/pratiques sexuelles. »(2)
 C’est à dire que c’est ne pas reconnaître qu’une personne à barbe et à pénis est une femme physiquement comme nous. Comme si il était indiscutable qu’elle le soit.
Tout cela basé sur un système « d’alliées » où des femmes généralement hétérosexuelles ou bisexuelles font preuve de vertu ostentatoire en nous imposant des personnes qui veulent se faire une lesbienne et en nous expliquant que si il y a des comportements abusifs il suffit de recadrer la personne mais sans invalider son identité.
On nous explique aussi sur les réseaux sociaux et dans certains évènements LGBT que même si le consentement est important il est du devoir des lesbiennes de s’interroger sur les raisons qui les poussent à refuser certaines personnes -toujours les mêmes – dans leur sexualité (3)

Même si il faut respecter notre consentement, il faut aussi que nous nous interrogions. Si les transexuelles se sentent femmes, pourquoi presque aucune lesbienne ne veut coucher avec elles ? De plus en plus de militant.e.s GBT nous expliquent que nous lesbiennes sommes attirées par les personnes de même genre et pas de même sexe. Parce que reconnaître la réalité du sexe biologique c’est « invalidant ».

Si nous nous réunissons entre nous c’est parce que nous en avons marre que l'on nous impose ces "thérapies de conversion" (2.0). Nous en avons marre de justifier nos refus, qui plus est par des militantes de plus en plus agressives.
La communauté GBT maltraite son L via la culpabilisation permanente qualifiée de "Transphobie".
Nous sommes des femmes avant tout et nous avons un mouvement qui s’appelle le Féminisme vers qui nous trouverons des alliées !

Par L-M (La Lesbienne Masquée)

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1.►misskoala.canalblog.com (archives)

2.►iaata.info/Transphobie-et-feminisme

3.►YouTube (Vos préférence amoureuses sont-elles discriminatoires)

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HISTORIQUE: (...) "La marche annuelle de la fierté du 07/07/2018 de Londres... a été envahie par un groupe de lesbienne séparatiste anti-trans... Le groupe, organisé sous le «#GetTheLOut» (enlevez le L /de LGBT)d'environ 10 personnes  proclamait l'affirmation selon laquelle «les droits des lesbiennes sont attaqués par le mouvement trans» et que les lesbiennes devraient quitter le mouvement LGBT pour former leur propre mouvement séparé. Cette croyance se fonde sur sur le fait que les personnes trans sont en quelque sorte une menace pour la vie privée et la sécurité des femmes et que leur identité n'est pas légitime - qu'elles devraient être définies en fonction de leurs organes génitaux et non de leur identité de genre. De même, le groupe soutient que les lesbiennes qui ont des relations amoureuses avec des femmes trans ne sont pas vraiment des lesbiennes...."(...)  «Seules les femmes peuvent être lesbiennes. Un homme opéré ne peut jamais être lesbien. »  Source fugues(ca)10/07/2018  Suite article complet

 

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